Modification mot de passe Teamviewer (Linux)

Petit article rapide suite à la publication de mon dernier tuto : installation-de-teamviewer-sous-gnu-linux.
J’indiquais dans l’article comment ajouter graphiquement un mot de passe. Il se trouve qu’il est possible de changer le mot de passe de Teamviewer via une ligne de commande (parfait pour un petit script ;p).

sudo teamviewer --passwd nouveau_mot_de_passe

Installation de teamviewer (sous GNU/Linux)

On ne va pas ce le cacher ! Même si je suis un grand utilisateur (et défenseur) des logiciels libres, il m’arrive d’utiliser des logiciels proprio. Ici je vais parler de Teamviewer.

Pour ceux qui ne connaissent pas Teamviewer, c’est un outils permettant de ce connecter à distance sur votre machine avec l’utilisation d’un identifiant et mot de passe (je vais pas entrer dans les détails, plus d’info sur le site officiel : https://teamviewer.com).

Si je vous parle de Teamviewer, c’est parce-que j’ai eu à l’installer dernièrement sur des machines Linux. Voici donc une petite procédure pour l’installer.

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Récupérer le serial number d’une machine (Linux)

Il y a quelques temps années, j’avais écris un article intitulé Récupérer des informations grâce à WMIC dans lequel j’expliquais comment récupérer des informations sur une machines Windows, et plus particulièrement, le numéro de série de la machine.

Comme, il m’a été demandé il y a quelques jours la solution pour Linux, j’en profite pour écrire un petit article rapide.

DMI

Sous linux il existe une commande, « dmidecode » qui permet de « décodé » la table DMI/SMBIOS (plus d’informations sur DMI : https://en.wikipedia.org/wiki/Desktop_Management_Interface et SMBIOS https://en.wikipedia.org/wiki/System_Management_BIOS). Cette commande permet concrètement de récupérer de manière lisible pour les humains toutes les informations présentes dans le bios (matériels, numéro de série, etc.).

Vous pouvez simplement utiliser la commande suivante pour avoir déjà un premier jet d’informations (mais vite illisible vu le nombre d’informations)

sudo dmidecode

Les options

Néanmoins si vous voulez avoir quelque chose de plus simple à lire et plus précis il vaut mieux utiliser quelques option.

L’option -t (type)

La première est -t (pour type). Après l’option il faut donc préciser le type. Pour cela nous pouvons utiliser les option suivantes :bios, system, baseboard, chassis, processor, memory, cache, connector, slot

Il est aussi possible d’utiliser des chiffres pour définir le type (mais il vaut mieux ce référer à la doc avec un man dmidecode). (0 BIOS, 1 System, 2 Baseboard, 3 Chassis, 4 Processor, 5 Memory Controller, …)

sudo dmidecode -t system

ou

 sudo dmidecode -t 1

L’option -s (String)

A savoir qu’il est aussi possible d’utiliser une option « string » permettant de faire une recherche avec un mot clef. La liste est assez longue est peut-être trouvé dans le manuel (man dmidecode) ( bios-vendor, bios-version, bios-release-date, system-manufacturer, system-product-name, system-version, system-serial-number, system-uuid, baseboard-manufacturer, baseboard-product-name, baseboard-version, baseboard-serial-number, ….)

sudo dmidecode -s bios-vendor

Dmidecode et grep

Maintenant il est bien sûr possible de combiné plusieurs options et d’utiliser un « grep » pour récupérer exactement une information désirée.

sudo dmidecode -t 1 |grep Serial

Bon là pour le numéro de série on aurait pu aussi utiliser

sudo dmidecode -t system |grep Serial

ou encore plus rapide

sudo dmidecode -s system-serial-number

Bref ! Le top pour une utilisation dans un script ou pour récupérer facilement une information sur une machine cliente avec un distant 😉

Participation aux logiciels libres

Vous ne le savez peut-être pas, mais je suis un grand utilisateur des solutions libres. J’utilise GNU/Linux depuis au moins une dizaine d’année et les logiciels libres sont les solutions vers lesquelles je vais toujours me tourner.

Ce que j’aime particulièrement avec les logiciels libres c’est la possibilité de pouvoir faire partie d’une communauté qui va réellement pouvoir agir sur les logiciels qu’elle utilise. Si vous avez la sensation qu’il manque une option dans votre logiciel, que vous faite face à un bug, si votre logiciel n’existe pas dans votre langue, vous pouvez facilement participer ou remonter l’information.

Je n’ai pas utilisé les termes agir et participer au hasard, car contrairement à des logiciels propriétaire il est réellement possible de donner un peu de son temps pour l’amélioration du monde du libre.

Oui mais je ne suis pas informaticien, je ne sais pas écrire du code 🙁

Eh bien moi non plus! Enfin … le code ce n’est pas vraiment mon truc.

Mais il n’est pas nécessaire d’écrire du code pour participer aux logiciels libres. Vous pouvez aussi simplement participer à des réunions de GUL (groupe d’Utilisateur de Linux/Logiciel Libre), participer à la communauté en traduisant des documentations ou les logiciels. Vous pouvez aussi participer activement en participant sur les forums, chat et autres outils pour aider la communauté et les nouveaux utilisateurs quand vous avez déjà un peu plus d’expérience.

Pourquoi je parle de cela ?

En fait, en voulant réutiliser un logiciel, je me suis rendu compte que la documentation française n’était pas forcément très importante, j’avais d’ailleurs, il y a quelques temps (années), déjà participé à la traduction de ce dit logiciel, et cela m’a donné envie de me remettre à participer aux traductions de ce logiciel.

Je pense que, à partir de maintenant, je mettrais plus en avant ma participation aux logiciels libres afin (peut-être) de motivés quelques-unes des personnes qui me suivent